Bonjour,
Je vous avais contacté l'année dernière au sujet d'une pièce de théâtre de Mankell " L'assassin sans scrupules". Nous reprenons cette pièce à partir du 26 septembre au Théâtre de l'Epée de Bois de la Cartoucherie de Vincennes. Ces représentations ont lieu dans le cadre du festival Un Automne à tisser : http://unautomneatisser.com
Une lecture est également organisée, mardi 17 septembre à la bibliothèque nordique et nous proposons un tarif préférentiel à ses lecteurs.
Cordialement,
Axelle SIMON : 06.70.29.89.06
La compagnie La Mandarine Blanche
- D°artistique : Alain Batis –
est heureuse de vous présenter
L’Assassin sans scrupules Hasse Karlsson dévoile la terrible vérité : comment la femme est morte de froid sur le pont de chemin de fer
de Henning Mankell
Spectacle tout public à partir de 10 ans
En coproduction avec l’Espace Jacques Prévert-Théâtre d’Aulnay-sous-Bois et la ville de Villiers-sur-Marne
Mise-en-scène : Alain Batis
Avec : David Arribe, Patrick Palmero, Laetitia Poulalion, Axelle Simon, Régine Trieau
Théâtre de l'Epée de Bois
Route du Champ de Manoeuvre
75012 Paris
01.43.74.20.21
unautomneatisser@gmail.com
http://unautomneatisser.com
Du 26 septembre au 14 Octobre :
Mardi 21h/Mercredi et Samedi 15h/ Jeudi 14h30
Vendredi 14h30 et 21h/ Dimanche 18h30
En 1948, alors qu’il a treize ans et qu’il habite une petite bourgade suédoise dans des conditions modestes, Hasse Karlsson est comme aspiré par l’Hirondelle, le fils du nouvel inspecteur des Eaux et Forêts. Ce dernier l’entraîne dans des jeux de cruauté et de vengeance qui tournent à la tragédie…
Récit poignant qui interroge l’enfant dans son rapport à l’autre et au monde ; fable poétique sur les hommes et le temps qui appelle à la parole et à la réconciliation.
L’HIRONDELLE. On est là pour répandre la terreur !
HASSE, dubitatif. Ah bon ?
L’HIRONDELLE. Les gens qui passeront sur le pont seront nos victimes.
HASSE. Vraiment ?
L’HIRONDELLE. Vraiment.
HASSE. Pourquoi ?
L’HIRONDELLE. T’es bête ou quoi ?
Plateau blanc, pierre blanche en point de repère, rideaux feutrés inscrivant passé et présent en plans décalés, apparition des personnages derrière ces voiles qui émaillent les souvenirs du narrateur : la mise en scène, merveilleusement servie par les lumières de Jean-Louis Martineau, est sobre et efficace. En un mot : réussie.
Le 12 mars 2006 – L’Est Républicain
Un suspense haletant soutenu par une mise en scène forte et délicate signée Alain Batis donne le frisson de bout en bout
Le Parisien
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